Marie Garreau est un petit brin de femme, qui sait poser la juste distance, dès la première rencontre. Elle vous observe avec attention et n’accepte pas n’importe qui au cœur de son précieux cercle noctambule. Une clientèle leader d’opinion, 27 – 45 ans, la majorité de célibataires, qui ont envie de faire la fête, dans le bon sens du terme. Des actifs en quête de ce lien de confiance si rare qu’elle propose, parce qu’elle les invite personnellement, pour des soirées tissées sur-mesure.
Elle commence aux Bains Douche, c’est ainsi qu’elle met le premier pied à l’étrier de l’organisation de soirées haut de gamme. Depuis, elle raconte que son entourage ne craint rien de ses tribulations la nuit à Paris, tant elle s’épanouit depuis dix longues années. C’est qu’elle n’est pas née de la dernière pluie, contrairement aux apparences de sa jeunesse rayonnante et surtout elle sait ce qu’elle veut. Dès ses débuts en tant que Public Relation, elle est persuadée qu’elle lancera sa propre activité dès qu’elle le pourra. Elle tient à son indépendance et assume déjà une philosophie très personnelle. Ses événements ne ressembleront à aucun autre, puisque son réseau est unique.
Un réseau qui n’a cessé de s’enrichir au fil du temps. Elle connaît ses clients et les invite nominativement. Elle les écoute, les soigne, répond avec soin à leurs demandes. C’est le secret d’un réseau fidèle qui ne sortirait pas si Marie Garreau ne le sollicitait pas. On pourrait presque dire qu’il ne sort que pour elle.
C’est “un vrai trésor’, lance-t-elle dans un sourire, lors de l’entretien accordé à LCV Magazine. “Je suis partie d’une passion de la communication; et j’ai tout construit ensuite. Toute petite, je savais que j’allais me diriger dans cette voie”. Et la nuit parisienne le lui rend bien. Le milieu est tout petit et entend vite parler d’elle. Ainsi l’établissement de la Maison Blanche à deux pas des Champs Elysées situé dans le triangle d’Or, qui sera son premier contrat. Sa structure à peine montée, le restaurant signe effectivement pour un an de soirées, programmées le vendredi soir. Elle enrichit son carnet d’adresses de façon exponentielle pendant cette période, et ajoute une seconde corde à son arc. L’événementiel : puisque derrière chaque client “il y a une société”, confirme-t-elle volontiers.
Et si l’on évoque la possibilité de passer un jour au diurne, et de songer à une existence plus familiale, elle persiste et signe. “J’aime par dessus tout le cote décomplexé de la nuit, cette vie un peu plus légère, parallèle, différente, atypique. Je rencontre de vraies personnalités, dans toute leur splendeur. Ils se révèlent tels qu’ils sont, sans mettre forcément de barrières. Enfant, tu me tendais un peigne, j’en faisais un micro. J’adore cette dimension artistique de mon métier, cet univers où les tabous tombent.”
Marie Garreau c’est un réseau d’individus autour desquels elle a su générer une synergie positive, avec un lien particulièrement humain qui fonde sa valeur ajoutée. Force est de constater que la réalité des relations, lorsque les lampadaires s’allument, est malheureusement peu exploitée parmi les clubs ou autres lieux de rencontres à Paris. Et l’on comprend de fait, la réussite de cette femme pas comme les autres, qui les attend toujours quelque part et veille à ce que ses convives passent un bon moment, parfois dense, parfois simplement distrayant.
http://mariegarreau.fr/
Ses actualité :
* Soirées itinérantes Chéris Chéri, actuellement au Trés honoré 35 place du marché St Honoré tous les mercredis soirs jusqu’à mi-décembre de 19h à 2h.
* Bientôt une mensuelle à l’Hôtel W dans le quartier de l’Opéra.
* Organisation de week-ends festifs dans des capitales européennes, pour quinze à vingt cinq personnes.
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